At home with Ascelle Dembélé
En cette période tout particulièrement compliquée, nous avons souhaité laisser carte blanche à des stylistes, mannequins, anonymes, photographes, créateurs et autres créatifs pour une plongée en immersion dans leur intimité.
Découvrez avec nous l’envers du décor de leur confinement, leurs looks, leurs pensées, leurs appartements… Tel un journal intime, ils vous inviteront à découvrir l’invisible à travers une série de clichés réalisés par leurs soins. Pour ce nouvel épisode de ‘At Home With‘, partez à la rencontre de la styliste et créative Ascelle Dembélé.
En ce moment
‘Au programme de mon confinement : manger et dormir comme une marmotte. Je suis en hibernation forcée. J’écris beaucoup car je tiens un journal intime, ‘les humeurs à l’intérieur’. Je lis aussi énormément, notamment un roman assez cool qui mélange vérité historique et mensonge de société, APO de Franck Balandier.’
‘J’essaie de faire 30 minutes de sport par jour avec l’application Nike training. Je prends aussi soin de moi et de ma peau pour garder le ‘glow’ et surtout de mes cheveux. Ils vivent leur meilleur vie et personne n’en est témoin bien sûr.’
‘Ce que je mate en ce moment : Self Made, nouvelle mini-série Netflix qui retrace l’histoire de la première millionnaire noire américaine, passionnant et surtout féministe multiraciale, bref, que des beaux messages. Je regarde aussi des comédies romantiques hyper girly qui me font pleurer : ‘Nos vies après eux‘ ou encore ‘A tous les garçons que j’ai aimés‘.’
Sa playlist
‘Je me lève avec ‘Up in my room‘ de Patrice, une petite ambiance reggae qui fait plaisir. Puis Ray Blk à fond pour danser à ma fenêtre avec le soleil qui se balade dans l’appartement. Et pour finir, Bob Sinclar pour me motiver pendant mon sport.’
Après le confinement
‘Ce que je ferais après le confinement : m’habiller et changer de chaussures tous les jours pour profiter de toute ma garde-robe laissée de coté, voir mes amis en terrasse et pas derrière un écran et enfin admirer la nature plutôt que d’admirer le balcon de mon voisin.’