At home with Annalisa Blaha
En cette période tout particulièrement compliquée, nous avons souhaité laisser carte blanche à des stylistes, mannequins, anonymes, photographes, créateurs et autres créatifs pour une plongée en immersion dans leur intimité.
Découvrez avec nous l’envers du décor de leur confinement, leurs looks, leurs pensées, leurs appartements… Tel un journal intime, ils vous inviteront à découvrir l’invisible à travers une série de clichés réalisés par leurs soins. Pour ce nouvel épisode de ‘At Home With‘, partez à la rencontre de la mannequin Annalisa Blaha.
En ce moment
‘Jamais je n’aurais pensé qu’à 26 ans je serais bloquée en Afrique du Sud à cause d’une pandémie mondiale. ‘Afrocalypsing‘ comme j’aime l’appeler. Mon métier m’a appris à m’adapter à une nouvelle réalité tous les trois mois. C’est donc ma réalité actuelle et cela pourrait être bien pire.’
‘Je partage un appartement avec Guido, un inconnu au départ, maintenant devenu un bon ami. Nous avons un balcon que j’utilise excessivement, pour le bronzage, pour fumer et pour nos ‘soirées œnologiques‘ occasionnelles. En Afrique du Sud, nous ne sommes pas autorisés à sortir ou aller au supermarché, ce qui me fait m’aventurer à l’épicerie de temps en temps pour acheter le strict nécessaire.’
‘J’essaie de m’entraîner un peu tous les jours, en mélangeant du yoga, du pilates et d’autres entraînements de cardio sur YouTube. Je parle beaucoup à ma famille, surtout à ma mère et à mes amis. J’ai passé pas mal de temps sur les réseaux sociaux et Netflix. Je ne manque pratiquement pas un épisode du ‘Daily Show with Trevor Noah‘. J’essaye aussi de lire et de manger sainement (même si je mange plus que d’habitude). Je ne peux pas dire que je suis très productive, mais je suis assez contente de ce que j’arrive à faire malgré les circonstances.’
Après le confinement
‘Après le confinement, j’irai voir ma famille et mes amis et je ferai des câlins à tous les gens que j’aime. Le contact physique avec mes proches, c’est ce qui me manque le plus !’